🚨 Toi, le courtier, écoute bien… 🚨 - Si tu continues à mélanger les genres, tu risques de finir enfermé, nourri au pain sec et à l’eau !!!
Soyons clairs une bonne fois pour toutes :
✅ Le conseil indépendant :
Tu peux le pratiquer, mais en respectant toutes les contraintes légales.
Cela veut dire : fournir à ton client une analyse complète, un bilan de recevabilité basé sur plusieurs établissements bancaires. Tu conseilles, tu accompagnes… MAIS tu n’intermédies pas le dossier en banque. C’est interdit. Et oui, tu peux facturer ce service (soumis à TVA)
✅ L’intermédiation :
Si ton client, après plusieurs échecs, te demande finalement de porter son dossier auprès des banques, alors tu signes un mandat d’intermédiation.
Là, ta rémunération est conditionnée au succès : uniquement au déblocage des fonds.
💡 Petit plus, pour ne pas paraître profiter de la situation : pense à déduire du mandat d’intermédiation les sommes déjà acquises lors de la phase de conseil indépendant. Transparence et éthique = confiance.
🚫 Ce que tu n’as pas le droit de faire :
Faire signer un mandat d’intermédiation dans lequel tu ajoutes :
👉 “Si le dossier échoue, je prendrai quand même 800 € de frais de conseil.”
Ça, c’est jouer avec le feu. 🔥
Alors toi le courtier du nord dont je taierai le nom pour l'instant, et qui fait pression sur les clients qui n'ont pas eu leur financement pour percevoir 800€ de conseil, veux-tu vraiment risquer de passer tes vacances aux frais des citoyens, avec vue imprenable sur des barreaux ?
👉 Moralité : sépare bien les rôles. Conseil ≠ intermédiation. Les deux existent, mais pas dans le même contrat.
📌 Courtier·e·s, vous le savez : la frontière est fine, mais la réglementation, elle, ne plaisante pas.
Et au mon dieu… prions pour que @Bérengère DUBUS ✨, secrétaire générale de l’@UIC SYNDICAT ne tombe pas sur ce post… sinon elle va m’appeler toute la nuit pour savoir qui est le déviant ! 😅
